Vis ma vie de loose

Publié le par Shlimbo

16/12/07, 22h24


Mon dieu, mes amis, mais quelle histoire!


Petit résumé de la semaine avant d'entamer les deux sujets dont je veux m'entretenir avec vous.



La semaine dernière était placée sous le signe de la poisse galopante. Hé oui, comme toujours, on est poursuivi par le mauvais sort ou on ne l'est pas.


Tout d'abord, voilà que lundi soir, un mal de gorge fort peu opportun me taraude. Au lever 6h lendemain matin, c'est carrément Tchernobyl, un escadron de centrales nucléaires miniatures en explosion avaient envahi ma gorge. Ouyouyouille. Déjà que la veille je m'étais pas spécialement couchée tôt...

Dans l'impossibilité de me relever pour l'instant, je décide de faire un truc superpas bien qui fait se sentir supercoupable: repousser le réveil à dans deux heures, adieu le cours d'AF et peut-être que dans deux heures les bactéries Tchernobyl auront décidé d'évacuer mon organisme.


Que niet mes amis. Me levant et me préparant à grand-peine malgré ma patraquitude, je file au cours, puis celui-ci fini je mets à jour mon blog et je rentre. Cette fois-ci, on essaie la technique du repos toute l'après-midi avec nouilles instantanées japonaises, on sait jamais, c'est un peu comme de la soupe, ça peut faire du bien...


Que niet encore. Tiens, Dr P est malade aussi.


Je me retrouve à minuit, à fouiller dans mes placards à la recherche d'un sac de médicaments d'une fois où j'avais été malade en première année. Y'avait de l'hexaspray dedans, pile ce qu'il me faut.


Et pis en ne trouvant rien, je me rappelle que le sac de médocs, je l'avais évacué lors de ma dernière crise de rangement aiguë. Youpi. Du coup je me trouve réduite à sucer des bonbons Halls à la menthe en espérant pouvoir trouver le sommeil, ce que je n'ai pas fait.


Lendemain, mercredi, j'ai pas dormi, et je suis presque résolue à aller chez le médecin (j'ai une dent contre les généralistes, une longue et sombre histoire...). Finalement, je me dégonfle et me contente d'aller à la pharmacie choper des Lysopaïnes. Qui calment sur le moment mais dès que le comprimé a fondu, retour du bobo de gorge. Bon, au moins j'ai enfin eu ma bourse. Le soir, ,je craque et demande à ma mère de prendre rendez-vous chez mon toubib pour vendredi. Les Tchernobyl miniatures commencent à évoluer, un peu comme des pokémon, et à migrer vers mon nez, qui sait, c'est peut-être là que les bactéries Tchernobyl se retrouvent pour la saison des amours. Et ça tousse. Et ça éternue.

Le lendemain Dr P et moi organisâmes un grand meeting de bactéries, plus on est de malades plus on rit. L'appartement fut transformé en foyer d'infection et la poubelle en arme bactériologique de destruction massive qui, si un chat affamé avait eu l'idée de l'éventrer à la recherche d'une éventuelle pitance, aurait sans mal contaminé toute la ville.

Le pire, c'est de pas sentir le goût des aliments. JE SENTAIS PLUS LE GOUT DE MES CHIPS, BORDEL!!!

C'est comme si je mangeais du carton, et le café, bah de l'eau chaude ça aurait fait pareil.

Vendredi, le médecin me reçoit avec une heure de retard (et sa s%*µ$£$ de secrétaire de me dire que c'est de ma faute et que c'est moi qui suis venue en avance) mais au moins, avec l'armada de huit médocs différents, y'en a pour mon argent! Y'en a pour tous les goûts, sirop, gouttes pour le nez, les oreilles, antibios, dafalgan, ibuprofène...

Bon, je commence à me sentir mieux mais la prochaine fois j'attends pas que les bactéries aient eu le temps d'inventer la poudre pour aller chez l'docteur.


Pis y a eu samedi. Les achats de Noël (mais je vais en reparler), mais surtout, SURTOUT!


La mort de mon portable.


Mon regretté portable et sa carte mémoire de 1 Go. Et son appareil photo de 1,3 mégapixels.
Mort. Il s'est éteint suite à un rade de batterie, et plus jamais j'ai arrivé à le rallumer. Enfin si mais il se bloquait « à la Windows »en mode gros plantage dès que j'appuyais sur quoi que ce soit. J'ai du ressortir à 18h avec mon nez qui coule, répandre mes microbes dans le magasin SFR tout ça pour quoi? Qu'on me dise qu'y pouvaient rien faire. Faut savoir que je suis accrochée à mon portable comme Morgane 13 ans ¾ à son stylo-plume Diddl.


Heureusement que c'est Noël (vous voyez, finalement) et merci maman pour le téléphone.

Qui n'a pas de slot carte.

Qui a un tout piti appareil photo de con.

Mais qui MARCHE, lui. En espérant qu'il durera plus qu'un an.


Et donc voilà mon week end de minable, que je vais compléter avec ce qui a occupé sa plus grande partie:...

...

...

Noël.

Je me pends, ou pas tout de suite?


Shlimbo avec ses restes de crève

Publié dans Ma vie

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T
le portable vous manque et tout est dépeuplé ;-)
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